Sacrilèges en plein ego.

Publié le 2 Décembre 2015 par Reaper

Temps épileptiques, l'envie d'un espace purement narcoleptique fait monter mon adrénaline, prêtre d'une nouvelle ère d’Aspartine.

diffamations et adorations, tes croyances sont castration, la torture du soi viens d'un mental préparé à la révélation, aspire ta déception.

Littérature qui pique, détriment du physique, mes relations espérées sont triptyques, critiques, un besoin si sale et monolithique.

J'écoute mais ne retient pas, les voix aiment ce fracas, apocalypse dans ma tête sans once de trépas, indifférence vivra et immolera.

Elles aiment le babillage, Cohabitation risquée, fornication et ravage, fleuve sanguinolent sans adage, je brûle le livre au lieu de tourner la page.

Elles aiment le babillage, Sourire forcé, levrette et carnage, limpide ce liquide Xénophane, je brûle le livre au lieu de tourner la page.

Créations semi divines, nées d'une averse démentielle, mélangeant amour et haine jusqu'à en perdre halène. ravale ta fierté, ouvre toi à la mienne.

Violation et procréation incestueuses, œuvre d'art charnelle, croire et pourrir sur des fellations langoureuses, détraqués sont les hommes sans étincelle.

rêveurs de secondes zone en proie à l’extinction, nous sommes le désastre désormais lié à la raison, couvre feu parsemé d'un geste d'émotion, oublie gloire et dort dans la rédemption.

Révélés sont les hommes en nous qui s’octroient la chance, de pouvoir embrasser et baiser cette décadence, relève le défi d'un passé déphasé et ouvre ta gueule au son de la morne pitance.

Elles aiment le babillage, Cohabitation risquée, fornication et ravage, fleuve sanguinolent sans adage, je brûle le livre au lieu de tourner la page.

Elles aiment le babillage, Sourire forcé, levrette et carnage, limpide ce liquide xénophage, je brûle le livre au lieu de tourner la page.